un dit de solitude 12
mardi 22 juillet 2014, par
toujours des soleils
mais ces cycles sans fin qui postillonnent dans mes paumes
je prépare mes mains au labeur saisonnier
la portance des phases qui défilent
mes terres vocalisent dans des octaves tempérées
........ici on a froid et puis chaud et des échelles sous les arbres
on sinusoïde à nerfs vifs la rame biellée
toujours des lumières
drues comme de la pluie et des moussons
mais ces coups de vent qui épongent ici le ciel
à tour de bras et de moulin
cette pousse lente
cette mort lente
ces pas de quatre pour chaque vie
toujours la jeunesse et puis la claque vieille
.........par deux dis-tu
comme les mains qui t’embrassent
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