pouvoir...
mercredi 13 août 2014, par
de l’innocence grise des hortensias
de l’air qui penche le temps vers ton bras
de ce baiser tanique, amère imprégnation de mots
volés à des gardiens encore gantés de génuflexions et d’encens
de l’effeuillage des pas, gamelles de candeur dans le vestibule des moulins
de l’approche
du combat, voracité de mes dents contre le manque d’air
de la secousse,
du tomber de la pluie, la goutte sans arme, poisson de transparence où s’endort le feu
de la détonnation de tes claques
de l’abri ensuite, le coin
de l’espace qui m’est attribué, ce chenit ridicule, l’ombre d’une maille sous la tente céleste.
de ma vie décidément qui porte ton écharde.