pour une fois
vendredi 26 septembre 2014, par
ne pourrait-on taire à la nuit ses déficiences, ses franges décoiffées
lui cacher qu’on est encore allée, petite, étourdie glaner des kopecks et
des joujoux dans les basques capitales,
mettre ça de côté, ne rien lui rapporter
faire comme si on avait été fidèle, sombre fourreau gainant sa plume, un rapace en son jardin d’obscurs
mais elle revient, impérieuse, matinée de rouges, de baisers, de "ciseaux à puits" tranchant les fils de sexe et de cascades
je fais allégeance, mon corps à la défonce de sa petite robe noire
je me dilue dans son parfum sans paupières
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