Sobre tâche du matin, ma cuillère de poème. Je cherche le langage du corps.
Perdu dans le terrain, dans les guérillas du silence.
Perdu sous une mitraille, un coup d’état du sang.
Il savait entrer en toi, airs purs sais-tu. Et tu m’absorbais des buvards de ton être.
Tu avais ma science infuse et j’étais le grimoire alchimiste,
En moi tu levais des peuplades nomades, des yourtes savoureuses et on tenait le feu en soufflant nos gelures
Je cherche le langage du corps. Tu as dit parchemin et je suis partie extrêmement nue,
Avec la fumée de ton dernier calumet