journal de l’aube 264
dimanche 12 octobre 2014, par
Je tiens en mes mains des poignées d’ignorance. Mon sang coule dans la chaîne des frères, l’immense qui attache la Terre
J’apprends du monde pareil animal, de la friction de la vie dans la membrane des méninges. Je saisis par la peau .
Je ne peux pas savoir, mon esprit a trop de murs, alors je décrypte le son des feuilles qui tombent, des lacs qui se referment, des villes voilées. Je capte les humeurs du tambour silencieux. Et il y a des matins où il pleut.
Haendel Messiah version scénique/ une magie dont je ne me lasse pas
Messages
1. journal de l’aube 264, 12 octobre 2014, 11:38, par Dominique Hasselmann
La musique est aussi langage de signes.