poème au café
vendredi 21 novembre 2014, par
au creux de mon attente
pourrissent des territoires de solitudes
plantations génétiquement modifiées
je n’essaie pas le duo virtuose
ma fiole musicale n’est pas pas un engrais pour ces herbes
je frise à la "rasure"
je n’imagine rien à la serpe.
tondre les petits bruits des cuillères
brasser le noir, le descendre et porter ensuite son puits à hauteur de diaphragme
un hoquet d’inutiles pour une symphonie monochrome