On ne sait quand, mais que l’on sait, bien...
mardi 10 février 2015, par
On ne sait quand, mais que l’on sait, bien sûr. Ce rendez-vous auquel on se prépare. Qui nous hante, une peur récurrente, un désarroi sans fin testé et détesté. La page blanche, chaque jour. Avec ces longs instants fermés, cimentés même, et dont on tente l’effraction et qu’on parvient à soulever, à briser quand même. Le prix de l’effort est en sueurs et en tensions de nuque et de mains. On se sent propulsés, essors, mais on est sans autre ...
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Messages
1. On ne sait quand, mais que l’on sait, bien..., 11 février 2015, 13:11, par pascale
C’est peut-être par le silence que la lumière se fait, comme sur l’aquarelle, en diffractant le dense et la douleur ?
1. On ne sait quand, mais que l’on sait, bien..., 11 février 2015, 14:10, par Anna Jouy
incroyablement bien vu : aquarelle !