C’est cette heure inaperçue où l’on s’enfuit dans le secret. Souffler la bulle des verres qu’on ne peut éventer et se mettre dedans comme un navire ou un message. les capitons de la transparence et de l’irrésolu, les deux semblables soustractions de réel. Là où on nous ignore, où l’on ne nous distingue que de profil, un onglet d’ombre que l’on n’attend pas.. Une heure pour résider dans l’énigme, où rien ne peut s’éclaircir mais qu’une terrible invite à l’opacité, à l’occulte absence de nos corps réfugiés dans la nuit.
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Je sens que m’absorbe l’arcane de chaque fin de jour