poème
samedi 4 avril 2015, par
tu ne reviendras plus
la syncope a levé des partitions de réglisse ou de soutane
noir dissolvant les profondeurs où tendre la main
je parle d’amour comme on allume des théorèmes avec un gilet pare-fumée et des propositions de feu
en vente libre ou en parti à prendre mes segments de peau font pellicules d’étincelles
tu ne reviendras plus
mais je chante pour faire des oiseaux dans les ténèbres
Messages
1. poème, 4 avril 2015, 14:50, par pascale
Faut lui mettre les oiseaux dans les arbres... comme des poings sur les i !
2. poème, 4 avril 2015, 16:19, par brigetoun
je murmure aussi… depuis si longtemps
et serais sans doute bien ennuyée si..