colin maillard
jeudi 2 janvier 2020, par
Je laisse derrière moi les prénoms et les pochoirs de fer blanc des gens que j’aime
Qu’ils marquent l’idéal de son et d’irréel quand ma langue rabotera l’os du passé
Avancer dans la nuit nue, le noir me confond avec l’espace
Mes yeux fermés ne touchent de toi que la Douceur et l’Inconnu
Meurtri, laid, triste figure, tu n’existes pas
Mais cette texture humaine qui palpite dans le rêve
Que je frôle de la main, quand je joue à l’aveugle.
Sous le foulard, s’allume.
PEINTURE CHINE Les égarés Colin maillard Oeuvres de Jean ...
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