avant la nuit
mardi 24 septembre 2013, par
les ombres se sont assises sur mes épaules
me défaire de ton dos
tailler la cagoule
la nuit a bien deux trous
son poème et le mien
m’inscrire dans les textures gaufrées, les couches où l’on ne dort jamais
me meurtrir d’empreintes
elles retournent dans l’implosion grave
allez ! allez ! la mort ! y en aura pas pour tout le monde
alors qu’on s’applique ! qu’on s’implique bordel !
l’ampoule a sauté vers 2 heures.