tas
vendredi 19 juin 2015, par
En fait, je passe le temps à le bourrer d’histoires, de petites choses, des feuillets, des lignes.
Je le bourre, je le remplis -et pas qu’un peu-, mais de beaucoup, de trop, de tant, d’un tas. Je tasse, j’entasse.
Tout ce qu’il faut dire pour oublier que je ne te parle pas, que le silence est une taie d’amour vide et qu’il faut des quantités phénoménales d’oiseaux de plumes, de mots pour combler l’apparence.
Et puis dormir dessus un jour, péremptoire.