À chaque fin de voyage, je ferme les yeux : le...
mercredi 20 mai 2020, par
À chaque fin de voyage, je ferme les yeux : le ciel n’est pas mort pour autant. Et le suivant m’embarrasse de tous les chemins, déjà musette ronde. Je reprends la lueur, l’oiseau nouveau : le ciel n’est pas haut pour autant. Et le pas que je fais ne manque pas d’échelle, ficelles d’ondes à grimper.
À chaque voyage début temps, un soir aveugle : le ciel ne m’est pas pour autant.