trop bas
lundi 28 octobre 2013, par
il me semble que c’était un fagot de ciel
noué avec les mains
qu’on cherchera à tâtons dans les siphons de nos iris
label séraphique
laisse-toi sombrer dans le sombre inconnu, c’est ouvert
absorbe l’ennui comme un soda zéro
précis de vivre sous forme de confettis
les tiroirs de la mémoire ont l’air de coller à la transparence
les aiguilles du temps tricotent au point de non- retour
le ciel parle décidément trop bas