nuit
dimanche 25 janvier 2015, par
Après le soir, bien plus loin, dans la lanterne inquiète
déplier la main, les quatre coins de l’offrande et toi
Le corps s’allume, qui apprivoise le moins farouche vertige. Le trouble est une courtoisie que m’accorde la nuit et à mes pieds le ramas froissé de l’ombre.
L’âtre que je porte est un drap de cendre, ressources lampantes ; je verse l’huile des onctions de feu au féroce de la chair
À la pupille d’un grain de fosse, l’enclin de toi – je te cherche gommant la suie, mais personne derrière
Habiter l’ombre : Le SOUPIRAIL et les VITRAUX
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