journal de l’aube 651
vendredi 16 décembre 2016, par
de qui sommes-nous familiers quand nous traînons de chambre en chambre ? de l’ombre ou des lampes ?
le pas silencieux et son pesant fardeau de pied à terre et de silhouette lasse
dans le jeu des familles, cette grappe humaine , l’avenir se joue des miroirs tirant à lui un lac inerte.
vie intérieure nuit.
les statues des frères font des phares hypnotiques, cyclopes éclos au ras du voyage.
Messages
1. journal de l’aube 651, 16 décembre 2016, 19:16, par Anna2B
Répondre au poème en se disant familier des ombres dans les chambres habitées des vies passées...
Suivre particulièrement en fantôme le tracé du troisième vers.