Je me promène Le vent écrème les fleurs, les...
mercredi 24 juillet 2019, par
Je me promène
Le vent écrème les fleurs, les sols et les papiers
Je me dis qu’il lit les pensées, les ombres des hommes
Et sous le chapeau de paille de l’amour
Je sais qu’il amasse les trésors muets des choses
Et qu’il soulève ma mélancolie
Plus loin le vent se repose, plus je suis éparse et semences
Alors je murmure ton nom
Je suis d’amour azur
Messages
1. Je me promène Le vent écrème les fleurs, les..., 25 juillet 2019, 17:42, par aunryz
Le poème (aussi)
et l’image que tu donnes
disent (aussi)
que
notre présence
notre perception
(la tienne)
modifient considérablement
le réel que palpe nos sens.
1. Je me promène Le vent écrème les fleurs, les..., 26 juillet 2019, 08:48, par Anna Jouy
il importe de donner au réel un espace d’imaginaire et d’espérance, un réel augmenté.
merci de ton passage. le poème est aride ces temps et le réel si plat hélas.