poème un instant
samedi 25 janvier 2014, par
ton mensonge
sur mes yeux
l’ailleurs
ce jeu de piste fléché de cul à son arc tendu
le foulard des mots sur ma pauvre langue
les lierres épineux entrelaçant le vide à mes oreilles
la farine d’une suée jetée au nez de l’amour
sous mes doigts la peau des silhouettes à l’orée des adieux
l’ombre pleure jamais elle ne connaîtra la lumière
je la vois qui tourne et cherche l’approche mais c’est écrit deux mondes ne feront jamais le poing fermé d’une seule main
toi la lumière tu éclates
moi l’ombre je dissémine
sels
Limaille de cuivre
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