manger fraise balancée vent flétri. est-ce encore sujet d’un poème qui en rougit de honte ? on préfère le "clapotis " des spermes à la mesure douce d’un fruit de saison.
le temps est dur, empli de graines de noyaux. casse-pipe d’enfants et mort à la secousse de semaine, action kit et trois pour deux. fécondation de plastiques et de bidules. j’achète au sac.
le temps qui est à la main caresse âpre, finitions au rabot
le temps vêtu d’émeri et d’échardes
ailleurs vient jusqu’à moi et m’étiole avec des rumeurs
la peur infeste
ai mangé hier un simple frisson, une donnée rare. ce rut qui pince une seconde deux vertèbres et puis vous lâche petit mouchoir sué sur le bord du lit.
bucoliques mon cul...
les bouquets en sont à leurs quatrièmes feuilles... demain on broute.