à l’autre bout de mon regard, dilapider les envies. tout et rien.

picorer le vivre sans la satiété, une boule au ventre pourtant. comment l’indigeste outre des jours squatte chaque lever. l’aube pleine, apéros sans fin et grignotages. où sont ces repas emplissant le corps et l’esprit ? et qu’ai-je à tendre sans faim la main vers les sébiles des passants ? que leur importe et ne manque-t-il pas maintenant une table mise, une nappe belle et un temps d’autres cènes.

mais reprendre les peanuts de l’aurore..