journal de l’aube 424
jeudi 4 juin 2015, par
Là où s’éteignent les libellules immenses
Pupilles des vols intérieurs et cils curieux
Là où l’aube l’emporte close combat à corps nus
Patience attend, la fille, repos sur les épaules
C’est l’heure de recevoir, de renoncer à l’horizontale et choisir son élégance de stylite
Là, où le monde agglutine ses faiblesses, les unes sur les autres, belles
L’amour se fait dans les cuillères du rêve
Là où je m’évapore, et débute mon apparence
L’aube au transformateur
ne m’attends pas je suis déjà debout, c’est-à-dire une fille étranglée de lumière
Messages
1. journal de l’aube 424, 4 juin 2015, 07:29, par Dominique Hasselmann
Avec un Z comme "danger de mort"...
1. journal de l’aube 424, 4 juin 2015, 08:07, par Anna Jouy
z’est clair !
2. journal de l’aube 424, 4 juin 2015, 08:29, par zakane
là
encore
où
se dresse
le poème
(comme toi, j’ai quitté twitter)*
(et je reprends mon blog, puisque nous parlons aux oreilles des murs)*
3. journal de l’aube 424, 4 juin 2015, 10:45
Trop twit pour savoir Twitter ; me contente se suivre vos blogs, envoûtée. Merci à vous.